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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 21:59
Le Comité d'Entente avec quelques Porte-Drapeaux vas chercher la Flamme sous  L'Arc de Triomphe   à Paris       
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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 21:43

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    Le Lieutenant Colonel Tony MOUCHET a pris ce lundi 24 septembre le Commandement du Groupement de Gendarmerie Départementale des Yvelines

La Cérémonie s'est déroulé dans la cour de la préfecture  des Yvelines à Versailles, sous la présidence de Monsieur Michel JAU, préfet des Yvelines.

  C'est le Général Bruno CARMICHAEL, commandant la région de Gendarmerie d'Ile de France qui a remis le commandement.

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                                         Photos prises par la Gendarmerie

 

 

 

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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 17:21

 

 

Edito du Chef de Corps du 17°RGP

 

 

 

 

La semaine dernière nous avons eu à faire face à une situation effroyable et inédite. Eff royable par sa violence et
sa brutalité, inédite par son invraisemblance et sa forme exceptionnelle.
Jeudi 15 mars en début d’après-midi, un homme a pris la vie de deux de nos frères d’armes, le caporal Abel CHENNOUF
et le 1ère classe Mohamed Farah Chamse-Dine LEGOUAD. Il a également grièvement blessé le 1ère classe
Loïc LIBER. Ce dernier est actuellement hospitalisé dans un état très critique mais stable.
Nous avons tous été profondément touchés et meurtris par cet acte d’une grande lâcheté. Chacun d’entres
nous accepte avec courage et détermination le sens de notre engagement singulier de soldat de la république
française. Tomber les armes à la main en opération, ils y étaient prêts ! Mais la semaine passée, la mort a frappé à
la porte de notre quartier Doumerc à Montauban. Cet événement tragique nous a replongé dans la compassion
et la tristesse que nous avons vécu l’été dernier où 4 de nos camarades sont morts au combat en Afghanistan.
Cet attentat meurtrier nous touche profondément. Un sentiment de révolte et d’impuissance devant l'ignominie
d’un tel acte nous aff ecte tous. Cependant, notre devoir est à présent d’aller de l’avant en gardant en mémoire
ces jeunes soldats plein d’entrain qui ont su oeuvrer au sein de leur compagnie à la cohésion et au dépassement
de soi. Ils étaient en eff et de véritables moteurs pour leurs camarades. Tous ceux qui les ont côtoyés au quotidien
sont unanimes: c’étaient des sapeurs parachutistes humbles, joyeux et fi ers de servir la France. Faisons vivre
ces belles qualités que ces soldats portaient en eux. Enfi n, les offi ciers, les sous-offi ciers, les caporaux-chefs,
les sapeurs parachutistes, l’amicale des anciens du 17 et le personnel civil du 17e RGP, s’unissent fraternellement
à moi pour partager la douleur extrême des familles et les assurent de notre total soutien afi n de les aider à surmonter cette terrible épreuve.


« Sapeur suis, para demeure »
Colonel Patrick POITOU

 

Discours du Président de la République.


Monsieur le Premier ministre,
Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les parlementaires,
Messieurs les offi ciers généraux,
Messieurs les offi ciers, sous-offi ciers et soldats,


La mission de nos soldats, c'est de défendre la France, ses habitants, son sol, son indépendance. La mission de nos soldats, c'est de défendre la République, ses droits, ses valeurs, sa liberté. La mission de nos soldats, c'est de défendre le droit des gens partout dans le monde lorsque la France en reçoit le mandat international. La mission de nos soldats, c'est de nous protéger et de faire le bien partout où leur mission est de le faire. Un soldat français sait qu'il peut mourir pour la France. Un soldat français sait qu'il peut mourir pour que vivent les valeurs de la France. Un soldat français connait le sens du mot « sacrifi ce », car il connaît le sens du mot « devoir ». Un soldat français connaît la mort et sait la regarder en face. Le 11 mars 2012, à 16h30, un homme est abattu froidement sur un parking. C'était un soldat. Le 15 mars 2012, le tueur, nous savons maintenant que c'est le même, a pris pour cible trois de nos soldats en uniforme. C'était à quelques pas d'ici.La mort que nos hommes ont rencontrée n'était pas celle à laquelle ils étaient préparés. Ce n'était pas la mort des champs de bataille, mais une exécution terroriste. Le premier a été tué sur le coup. Le second qui n'était que blessé a tenté de se mettre à l'abri.Le tueur est descendu de son scooter pour l'achever. A l'heure où je vous parle, le troisième se bat toujours, contre la mort. Nous savons aujourd'hui que c'étaiet bien des soldats que l'assassin voulait tuer. Ils ont été abattus parce qu'ils étaient des soldats français, ils ont été abattus car ils étaient l'armée française. C'est bien l'armée française que le tueur a visée et c'est la République française qui a été touchée. La cible, c'était l'armée de la République, cette armée dont les soldats, quelle que soit leur origine, la couleur de leur peau ou la confession, portent le même uniforme, servent le même drapeau et
sont prêts à mourir pour un même pays, la France. C'est ici, au coeur de cette armée, de notre armée, que se forge cet alliage républicain qui ne cède jamais quelle que soit la violence des coups qui lui sont portés. C'est la force de cet alliage que le tueur à voulu éprouver. A cette armée, je veux ici rendre hommage.
La Brigade parachutiste vient d'être touchée à travers le 17e régiment de génie parachutiste et le 1er Régiment du train parachutiste qui ont déjà payé un lourd tribut en perdant au combat ces dernières années plus de quarante soldats. La Nation française leur doit beaucoup. Aujourd'hui, ces régiments ont non seulement droit au respect de la Nation, mais ils ont le droit à sa justice. A ces hommes qui sont tombés sous le feu d'un tueur, je veux rendre ici l'hommage qu'ils méritent. Je suis venu m'incliner devant le cercueil de ces soldats assassinés.
Je suis venu dire à leurs familles, à leurs proches, à leurs frères d'armes, le soutien et l'hommage de la Nation.
Soldats ! Aujourd'hui, c'est toute la Nation française qui est à vos côtés.
...
Caporal Abel CHENNOUF,
Engagé en 2007 à 19 ans au 17e Régiment de génie parachutiste
de Montauban, vous étiez un élément brillant. A 25 ans,
vous aussi aviez déjà servi à l'étranger, en Afghanistan dès
2008, au Sénégal en 2011.
Le caporal Abel CHENNOUF était âgé de 26 ans il allait être
père. Un tueur sans scrupule a décidé qu'il ne connaîtrait
jamais son enfant à naître. La République et sa mère veilleront
sur cet enfant.
Soldats ! Honneur soit rendu à votre camarade.

 

Sapeur Parachutiste de 1ère classe Mohamed Farah Chamse-Dine LEGOUAD,
Engagé en 2010 à l'âge de 22 ans au 17e Régiment de Génie
Parachutiste de Montauban, vous recevez votre brevet de
parachutiste le jour même de vos 23 ans. Vous étiez parti en
Nouvelle-Calédonie pour 4 mois d'une mission réussie. Vous
alliez avoir 25 ans dans quelques semaines.
Soldats ! Honneur soit rendu à votre camarade.


Je n'oublie pas le sapeur parachutiste de 1ère classe Loïc LIBER qui est actuellement hospitalisé à Toulouse dans un
état grave et qui mène un combat contre la mort. Il s'est engagé en 2008 à l'âge de 24 ans. Il a servi brillamment en
Guyane. Je souhaite, comme chacun ici, que les médecins qui l'accompagnent avec tant de dévouement parviennent à le sauver. Soldats ! Dans ce combat votre camarade a besoin de vous. Il a besoin de votre force et de votre soutien.

 

Après avoir tué nos soldats, le tueur a poursuivi son chemin implacable et meurtrier. Lundi matin, il a porté l'horreur à son comble en assassinant sauvagement trois enfants - aucun n'avait plus de dix ans - et en assassinant un professeur qui s'apprêtait à entrer en classe dans l'école OZAR-HATORAH de Toulouse. C'était le lundi 19 mars. Des familles sont décimées à jamais. Je veux dire ici solennellement que si des communautés ont été prises pour cibles, à Montauban comme à Toulouse, ce sont des enfants, des soldats, des Français qui ont été assassinés. Ces soldats étaient nos soldats. Ces enfants sont nos enfants. La police, la gendarmerie, la justice, grâce à leur travail et à leur mobilisation, sont parvenues à identifi er le tueur présumé, qui à l'heure où je vous parle est encerclé par les forces de l'ordre. Cet homme voulait mettre la République à genoux. La République n'a pas cédé. La République n'a pas reculé, La République n'a pas faibli.


La République a fait son devoir et sa justice demain fera le sien. Ces crimes ne demeureront pas impunis.
Je veux dire ici, devant nos troupes rassemblées, que nous avons un autre devoir à l'égard de ces soldats, de ces hommes, de ces enfants si lâchement assassinés. Un devoir impérieux. Ce devoir, c'est l'unité nationale. Face à la froide sauvagerie d'un homme capable de descendre de son scooter pour venir achever ses victimes, qu'il
s'agisse d'une petite fi lle ou d'un soldat, la France rassemblée a donné ces derniers jours une magnifi que image de dignité.
Cet homme, ce tueur, n'est pas parvenu à fracturer notre communauté nationale. La France a été plus forte que celui qui semait la mort et la douleur sur son passage, car, au milieu de cette tragédie, devant ces images qui nous révulsent, les Français ont pour eux leur dignité et leur conscience. Aujourd'hui, cette dignité et cette conscience sont collectives.
Je l'ai dit ce matin en m'adressant à la Nation. Nous devons rester rassemblés, nous ne devons en aucun cas céder
à l'amalgame. Et en aucun cas céder à la vengeance. Face à de tels événements, la France ne peut être grande que dans l'unité. Nous le devons à la mémoire des hommes dont je viens de citer le nom. Nous le devons à trois enfants assassinés. Nous le devons à toutes les victimes. Nous le devons à notre pays.


Vive la République et vive la France.

 

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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 16:55

Le porte drapeau des Médaillés Militaires de Versailles

 

était

 

présent pour honorer la mémoire de notre compagnon.

 

 

 

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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 17:35

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 22:01

CLIQUER SUR LES LIENS CI DESSOUS :

 

 EXPOSITION DE LA RESISTANCE A LA DEPORTATION

 

 

 

 

 

 

Du 04 au 14 AVRIL 2013: 45 ans d'Opérations Extérieures 

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 15:45

Chers Amis et chers camarades !

 

Pour compléter notre  information voici les accès aux sites déjà créés par une partie des associations inscrites au Comité.

 cliquer ici:    

CHASSEURS DES YVELINES  

 UNC VERSAILLES

UNP VERSAILLES  link 

FNAME OPEXhttp://www.fname.info/

UNP Thierryhttp://unpversailles.blogspot.fr/ 

MEDAILLE MILITAIREhttp://medaillesmilitairesversailles.over-blog.com/

 ACUFhttp://www.acuf.fr/index.html

SOUVENIR FRANCAIS:

 

 

 

 

    

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14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 19:00

 

Message de
 Monsieur le Président de la République

 

 


 

Hommage de la. Nation aux soldats Morts pour la France
Vendredi 11 novembre 2011.

 

Il y a quatre vingt dix ans, au petit matin du 28 janvier 1921, dans un silence qui incarnait à lui seul le deuil de tout un peuple, le Soldat inconnu était inhumé sous l'Arc de Triomphe. La République consacrait le monument élevé aux victoires de la Révolution et de l'Empire à la dépouille d'un simple soldat tombé au cours du conflit le plus meurtrier de toute notre Histoire.

 

A travers lui, la France rendait donc hommage à tous ceux qui comme lui avaient sacrifié leur vie sur tous les champs de batailles de la Grande Guerre.

Chaque jour, depuis, le ravivage de la Flamme du Souvenir est là pour perpétuer cet hommage et rappeler l'immensité, aujourd'hui presque inconcevable, du sacrifice.

 

Au fil du temps, les morts de la Seconde Guerre mondiale, d'Indochine et d'Afrique du Nord furent à leur tour honorés sous l'Arc de Triomphe, mais le 11 Novembre est resté une journée consacrée au seul souvenir des soldats tombés au cours de la guerre de 14-18.

 

La disparition du dernier combattant du Premier conflit mondial, le 12 mars 2008, et la perspective des manifestations, qui commémoreront dans deux ans le centenaire de la Grande Guerre, impliquaient de faire évoluer la portée symbolique de la journée nationale du l 1 novembre.

La pérennité du culte qui est rendu quotidiennement sur la place de l'Etoile au souvenir du Soldat inconnu, incarnation même du sacrifice du combattant, permet d'établir une filiation directe entre les différentes générations du feu. C'est le même sang, celui d'un même Peuple, qui a été, à chaque fois, versé pour la France et ses valeurs.

 

Que nos soldats soient nés sur le sol de notre pays ou aux confins de nos anciennes colonies, ils sont les enfants d'une même France, les soldats d'une même République à laquelle ils ont fait le don ultime, ce don sur lequel personne ne peut jamais revenir, celui de leur vie.

 

Ces vies ont été données pour que la France demeure et pour que la République perdure.

Quel que soit le lieu, quel que soit le moment de notre Histoire, ce don est sacré et il mérite le même hommage, la même reconnaissance, la même ferveur. La mort au service de la France ne fait pas de différence. Le champ d'honneur est de toutes les guerres et de tous les conflits qui ont impliqué notre pays.

 

C'est pour cette raison que désormais, chaque 11 novembre, tous ceux qui ont donné leur vie pour la France, que ce soit pour la défense de la Patrie ou lors des opérations extérieures auxquelles notre pays participe, seront également associés à cet hommage solennel de la Nation.

 

Aujourd'hui, en ce début de XXIème siècle, nos troupes sont engagées en Afrique, au Proche-Orient, en Afghanistan et des soldats continuent à tomber sous le drapeau Français pour que notre drapeau, lui, jamais ne tombe.

Il est juste et légitime que ces soldats rejoignent désormais dans la commémoration ceux qui les ont précédés dans le sacrifice au cours du XXème siècle, au service de notre destin et de nos valeurs, pour que vive la République et que vive la France.

 

Nicolas Sarkozy

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14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 18:32

 

 

Allocution de l’ambassadeur d’Allemagne,

S.E. Monsieur Reinhard Schäfers,

 

 

 


à l’occasion de la cérémonie principale de commémoration de la Journée de deuil national, le 13 novembre 2011 à Versailles

 

 

formules d’appel,

 

Comme chaque année, à l’occasion de la Journée de deuil national, des hommes et des femmes se rassemblent en Allemagne et ailleurs pour commémorer ensemble les victimes des guerres mondiales et de la tyrannie.

Comme chaque année, nos amis français et internationaux se joignent à nous en France en divers lieux pour partager notre deuil et nous accompagner dans notre commémoration.

 

À juste titre, nous nous efforçons aujourd’hui dans nos pays de préserver nos monuments culturels et les centres historiques de nos villes, car nous sommes convaincus que ces monuments nous transmettent un message au-delà du temps et des lieux.

C’est encore plus vrai pour les cimetières militaires. Ils ont tant à nous dire. Tant de peine, de douleur et de malheur, tant de questions sans réponse en émanent. Quel appel muet lancent ces lieux vers nous et nos contemporains !

 

La Journée de deuil national est une journée de souvenir et de réflexion : nous nous souvenons de la guerre, de la violence et nous rendons hommage à ceux qui ont perdu la vie.

Une commémoration sincère et profonde n’a pas besoin d’être énoncée à voix haute.

L’acte de commémoration est avant tout une réflexion silencieuse. C’est se plonger dans le silence pour méditer sur la mort et les différentes tragédies de l’Histoire.

La commémoration transcende la douleur et le deuil.

Face à la perte d’une vie humaine, la douleur et le deuil sont les premières réactions spontanées. Souvent, comme l’Histoire l’a assez montré, la douleur et le deuil ne laissent dans un premier temps aucune place à la réflexion.

Le recueillement vient avec le temps. Il permet une réflexion a posteriori sur les origines du mal, sur la nature humaine. Il cherche des réponses et aide à tirer des enseignements du passé.

La commémoration est aussi un hommage aux victimes : nous nous inclinons devant elles avec humilité.

Dans ces cimetières, les soldats tombés au combat nous demandent : « Qu’avez-vous fait de nos victimes ? » La génération qui nous a précédés a répondu : « Nous avons fait la paix et nous nous sommes réconciliés ». Notre génération doit répondre : « Nous préservons et vivons cette paix, en votre nom » - notamment en temps de crise.

Je pense qu’il n’y a pas d’autre voie que le dialogue, la rencontre, l’échange et une commémoration commune. « Certains souvenirs sont comme des amis communs, ils savent faire des réconciliations », affirmait Marcel Proust.

De fait, les commémorations ont indéniablement une portée historique et politique qui va au-delà de la seule dimension humaine.

Il semble que l’on soit de plus en plus conscient que sans une réflexion critique sur un passé commun, il est impossible de construire l’avenir de l’Europe.

Je constate que les commémorations se concentrent souvent sur la période où la France et l’Allemagne étaient des ennemis en guerre. Pourquoi ne nous retournons-nous pas davantage sur un passé plus récent ? Aujourd’hui, des États alliés, à l’instar de la France et de l’Allemagne, envoient des soldats en mission sur la base de valeurs communes et ont malheureusement tous à déplorer des victimes. Puisque nous rendons hommage aux victimes d’hier, celles d’aujourd’hui ne devraient-elles pas a fortiori être associées à ces commémorations ?

Les événements qui se sont produits dans un passé lointain perdent peu à peu de leur force d’évocation, surtout lorsqu’il n’y a plus de lien personnel avec les victimes des guerres mondiales. Ce n’est qu’en parvenant à intégrer dans nos commémorations des événements tragiques récents que nous pourrons toucher la jeune génération. C’est le seul moyen pour amener les jeunes à se sentir concernés et à cultiver le souvenir des guerres survenues il y a plusieurs décennies ou même un siècle, ainsi que des victimes qu’elles ont faites. C’est à mon avis aussi l’intention du Président français autour du 11 novembre.

 

La France et l’Allemagne pourraient montrer la voie en développant ensemble une approche qui permettrait de rendre un hommage conjoint aux victimes de missions communes.

Si nous y parvenions, nous pourrions alors à long terme, pas à pas, forger une culture du souvenir commune de nos victimes communes à toute l’Europe.

 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 21:00

 

 

 

Si vous souhaitez des informations supplémentaires, prenez contact avec le Comité d'Entente ou directement avec les associations concernées.

 


 Liste des cérémonies  

 

11 NOVEMBRE:  Loi du 24 Octobre 1922, fixant au 11 Novembre" la commémoration de la victoire et de la paix" 

modifié par la :

Loi N° 2012-273 du 28 février 2012 fixant au 11 Novembre La commémoration de tous les " Morts Pour La France"

Dimanche suivant le 11 Novembre: Journée du Deuil Allemand 

 

5 décembre:  Décret du 26 Septembre 2003, fixant au 5 Décembre la Journée Nationale d'Hommage aux "Morts Pour La France" en Afrique du Nord.. Suivi par la Loi du 23.02.2005.

 

16 Février: Hommage aux Gendarmes  ( construction)

 

19 Mars   Loi de déc 2012( construction)

 

 

Avril: Journée des Déportés  

 

8 Mai:  Loi du 2 Octobre 1981,   Journée de commémoration de la Victoire de 1945.  

 

8 Juin : Décret du 26 mai 2005, Journée Nationale d'Hommages aux "Morts Pour La France " en Indochine. 

 

17 Juin: Cérémonie en Hommage à Jean Moulin, (  le 21 Juin  en 2013)

 

18 Juin: décret du 10 Mars 2006, Journée Nationale commémorative de l'appel du Général de GAULLE du 18 Juin 1940        

 

 

Dimanche le plus proche du 16 Juillet: Loi du 10 Juillet 2000, Journée Nationale à la mémoire des crimes racistes et antisémites de l'Etat Français et d'Hommage aux " Justes"  

 

24 Aout: Libération de Versailles   

 

25 septembre:  décret du 31 mars 2003,  Journée Nationale d'hommage aux Harkis et aux Membres des formations supplétives.  


 

 

 

 

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